Jour 1

Enfin le Jour J. Après des palabres sur l'heure de départ, le remplissage du sac, le vidage du sac car ô grand désespoire tout ne rentre pas, le re-remplissage du sac, quelques retards (indépendants de la SNCF sur ce coup), nous voici à l'aéroport pour prendre l'avion de 13h20. Passage rapide des formalités et nous voici parti pour 3h de vol à destination de l'Islande, ENFIN...

Ca y est, 16h50, on foule le sol Islandais, premières bouffées d'air frais (littéralement), on récupère (rapidement) les bagages et on file récupérer la voiture chez Blue Car Rental. Je donnerai mon avis (très positif) par la suite sur ce loueur. On avait loué un Kia Sportage et on récupère un nouveau Honda CR-V de la même gamme. Honnêtement après moult discussions, pas de surclassement... et c'est avec le sourire qu'on prend la route vers la ville de Keflavik, premier arrêt.

Route faite : 103 km

La nuit première nuit est programmée au 1x6 guesthouse avec une chambre pour deux (twin bed) et une chambre pour trois (double bed + extra bed), la proprio sympa comme tout nous a rajouté un lit d'appoint pour 10 euros (soit le prix du petit déjeuner). Les critiques vraiment positives rencontrées sur certains sites se justifient assez rapidement. L'accueil est chaleureux, les chambres décorées avec gout (à partir de matériaux de récup), un hot spot dans le jardin (on en aura pas profité, mais vu le froid... le manque de courage s'est fait ressentir...) bref une bonne adresse pour commencer le séjour.

Une fois les clés récupérées, histoire de profiter de la soirée, cap sur la capitale pour manger un morceau et faire une première ballade...
Le temps est avec nous, gros soleil mais un froid mordant... Première impression, la capitale n'est pas grande (mais bon la population va avec), pas particulièrement jolie mais dépaysante et agréable.

Un arrêt pour manger au Sægreifinn Sea Baron, resto conseillé dans le routard et particulièrement bon sans être onéreux (on y refera un arrêt à la fin du voyage). (cf routard). Possibilité d'y manger des brochettes de cabillaud, morue, baleine, crevette... Bref du choix et du goût.

S'en suit un retour à la maison et après quelques tergiversations, certains vont au lit, d'autres essayer de guetter des aurores boréales malgré une luminosité assez importante (ville, lampadaire, ...). La ballade courte commence délicatement mais, après un dernier (ou presque) regard dans le ciel, une trainée blanche, et une photo plus tard, ça y est ! Notre première aurore boréale !

C'est avec un sourire qu'on va au dodo !!!